John Kenny, tubiste anglo-irlandais, réanime le carnyx en jouant sur des copies de l'instrument retrouvé en 1816 à Deskford, comté de Murray au Nord de l'Ecosse. Ces copies ont été réalisées par des universitaires écossais qui sont allés jusqu'à reconstituer les techniques de forge et d'alliage des Celtes de l'époque indépendante.
Cette composition originale me rappelle personnellement un bain sonore thérapeutique, proposé par le groupe Yamaël, auquel j'ai participé et qui fait intervenir des doodgeridoo remaniés en métal...
De là à penser que le carnyx peut aussi avoir des vertus régénérescentes...